


Comprendre la non-jointure dans les litiges juridiques
La non-jointure fait référence à une situation dans laquelle une ou plusieurs parties à un litige juridique ne sont pas incluses dans le procès, bien qu'elles aient un intérêt direct et substantiel dans l'affaire. Cela peut se produire lorsqu'une partie ne reçoit pas correctement notification du procès, ou lorsqu'une partie est intentionnellement exclue du procès pour des raisons stratégiques.
Dans une situation de non-jointure, le tribunal peut autoriser la partie exclue à se joindre au procès à à un stade ultérieur, s'ils peuvent démontrer qu'ils ont un intérêt direct et substantiel dans l'affaire et que leur participation au procès est nécessaire pour garantir une résolution juste et équitable. Le tribunal peut également prendre en compte des facteurs tels que le préjudice que la partie exclue a pu subir du fait de sa non-inclusion et l'impact potentiel de sa participation sur l'issue de l'affaire.
La non-jonction peut être intentionnelle ou non. Il y a non-jonction intentionnelle lorsque les parties excluent délibérément une partie qui a un intérêt direct et substantiel dans l'affaire, généralement pour des raisons stratégiques. Une non-jonction involontaire se produit lorsqu'une partie n'est pas correctement informée du procès ou lorsqu'il y a une erreur dans l'identification des bonnes parties au litige.
Dans les deux cas, le tribunal peut exercer son pouvoir discrétionnaire pour permettre à la partie exclue de se joindre le procès à un stade ultérieur, s’ils peuvent démontrer que leur inclusion est nécessaire pour garantir une résolution juste et juste. Cependant, le tribunal peut également prendre en compte des facteurs tels que le préjudice que la partie exclue a pu subir du fait de sa non-inclusion, et l'impact potentiel de sa participation sur l'issue de l'affaire.



